Décidément, je n'arrête pas de reçevoir des messages de compliments à propos de mon écriture.
Il paraitrait selon des sources officieuses que mon écriture est douce, fluide et qu'on aimerait en manger des kilos par jour. Tiens, ça me rappelle mon prof de français en première, il m'avait fait l'élogieuse remarque : "Ah, emilie, on pourrait l'écouter des heures". Enfin, cela reste à voir, à force je finir par dire des betises, et parfois même de grosses betises :P
Et oui, en plus d'être petite modèle photo, je suis poète immaginaire à mes heures, figurez-vous qu'en seconde j'avais commencé à écrire un roman fantastique, mais les préoccupations adolescentes ont pris le dessus et j'ai oublié... mais je compte bien poursuivre mon chef d'oeuvre!
L'année dernière mon professeur de français des années précédentes avait essayé, en vain, de me convaincre de participer à un concours de poésie lyrique, mais que voulez-vous, je n'ai jamais donné suite! Un tord?
Allez pour vous donner une idée , c'était un petit bout de quelque chose écrit il y a plusieurs mois de ça (presque un an je dirai) :
"L'automne a cédé son ascension, et cette époque toute entière s'est fanée, laissant une trainée de sable poussiérieux derrière elle.
Lorsque le besoin s'en faisait ressentir, lorsque mes pas suivaient mon inconscience, c'est à cet instant que je saisissais du regard, un instant, un tourbillon poussé par le vent, une envolée de couleurs aussi rouge que jaune, un mélange insaisissable qui me glissait sous les pieds, des feuilles qui se multipliaient pour se recroiser encore une fois."
Sur ce, bon vendredi!
Mily
vendredi 8 février 2008
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